- Imprimer
- Partager
- Partager sur Facebook
- Share on X
- Partager sur LinkedIn
Salon / Innovation
Le 28 février 2021
BeFC (Bioenzymatic Fuel Cells) participe au premier Consumer Electronics Show virtuel et présente sa biopile au glucose produisant de l’électricité à partir d’enzymes et de papier biosourcés.
BeFC (Bioenzymatic Fuel Cells) participe au premier Consumer Electronics Show virtuel et présente sa biopile au glucose produisant de l’électricité à partir d’enzymes et de papier biosourcés. Cette solution énergétique écologique est désormais capable d’alimenter une puce électronique comportant un capteur d’humidité et de température, ainsi qu’un système de transmission GPS, Bluetooth et LoRaWAN. Leur biopile, qui a reçu le prestigieux 2021 Innovation Awards Honoree du CES, se rapproche d’une pile à hydrogène, mais ultramince et flexible, et dépourvue de catalyseurs en métal noble et de gaz inflammables. et présente sa biopile au glucose produisant de l’électricité à partir d’enzymes et de papier biosourcés. Cette solution énergétique écologique est désormais capable d’alimenter une puce électronique comportant un capteur d’humidité et de température, ainsi qu’un système de transmission GPS, Bluetooth et LoRaWAN. Leur biopile, qui a reçu le prestigieux 2021 Innovation Awards Honoree du CES, se rapproche d’une pile à hydrogène, mais ultramince et flexible, et dépourvue de catalyseurs en métal noble et de gaz inflammables.
Les performances s’en retrouvent réduites, mais répondent tout de même à de nombreux besoins. Le tout est biocompatible et laisse un faible impact environnemental. « Nous avons eu l’idée de nous focaliser sur de petits appareils à usage unique ou limité, comme les tests de grossesse » explique Michael Holzinger, directeur de recherche au DCM3 et cofondateur de BeFC. « Ces systèmes sont d’habitudes alimentés par des piles boutons, qui en constituent la partie la plus polluante et les empêchent d’être traités directement avec les autres déchets médicaux. » La start-up fonctionne ainsi en B2B à destination de différentes entreprises du domaine médical. Six brevets CNRS ont déjà été déposés à partir de travaux menés au DCM, visant à l’origine à produire de faibles quantités d’électricité grâce aux fluides corporels. Andrew Gross, chargé de recherche au DCM, et Michael Holzinger sont restés au CNRS pour améliorer le transfert de technologies microfluidiques vers la start-up, où tous deux sont conseillers scientifiques. Celle-ci comporte à présent dix employés, dont les cofondateurs Jean-Francis Bloch de 3SR et Jules Hammond, et a réalisé un chiffre d’affaires de plus d’un million d’euros.
Les performances s’en retrouvent réduites, mais répondent tout de même à de nombreux besoins. Le tout est biocompatible et laisse un faible impact environnemental. « Nous avons eu l’idée de nous focaliser sur de petits appareils à usage unique ou limité, comme les tests de grossesse » explique Michael Holzinger, directeur de recherche au DCM3 et cofondateur de BeFC. « Ces systèmes sont d’habitudes alimentés par des piles boutons, qui en constituent la partie la plus polluante et les empêchent d’être traités directement avec les autres déchets médicaux. » La start-up fonctionne ainsi en B2B à destination de différentes entreprises du domaine médical. Six brevets CNRS ont déjà été déposés à partir de travaux menés au DCM, visant à l’origine à produire de faibles quantités d’électricité grâce aux fluides corporels. Andrew Gross, chargé de recherche au DCM, et Michael Holzinger sont restés au CNRS pour améliorer le transfert de technologies microfluidiques vers la start-up, où tous deux sont conseillers scientifiques. Celle-ci comporte à présent dix employés, dont les cofondateurs Jean-Francis Bloch de 3SR et Jules Hammond, et a réalisé un chiffre d’affaires de plus d’un million d’euros.
Date
Le 28 février 2021
- Imprimer
- Partager
- Partager sur Facebook
- Share on X
- Partager sur LinkedIn